Le Québec ne vie plus une crise étudiante, mais bien une crise politique, une crise d'autorité.
La loi 78 à mis de l'huile sur le feu, inutile de dire que le dialogue c'est la meilleur voix, tous le savent.
J'ai mal à mon pays. J'ai mal de voir autour de moi des coups de mattraques, des jets de poivre, de la casse.
Cette crise me confirme mes valeurs profonde, mes croyances politique et mes espoires à la révolution.
Nous vivons une révolution, ce que le Québec à toujours eu besoin. Une révolution où les Québécois(e)s se prennent en main. Le carré rouge n'est plus étudiante, il est révolutionnaire, il est le symbole de la crise que le Québéc vie depuis des mois.
Corruption, enveloppe brune, collusion, politiciens, mensonge, hypocrisie, ingérence, sous-financement, pauvreté, droits humains, gaz de schiste, environnement, sont tous des raisons pour sortir dans les rues.
Nos droits sont bafoués. Nous devons nous lever. Nous nous levons. Et ce n'est pas fini.
Pauline Marois : «La voie à suivre est claire: Changer de premier ministre. Changer de gouvernement. Changer de direction. Changer de pays!.»
Et j'y crois.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire