Devant un dilemme de lecture, j'ai dit :
J'ai pas le goût de le finir parce que c'est tellement bon que je veux faire durer l'intrigue.
Mais en même temps...
J'ai le goût de le finir le plus vite possible pour savoir c'est quoi la fin.
Vous avez déjà eu ce dileme?
Finalement, j'en ai conclu que je préfère prendre mon temps pour savourer chaque pages, chaque péripéties, chaque chapitres, parce que c'est trop bon et que les bouts les plus plate, je les passerai plus vite.
Quand même pas pire non?
Mais couché, je tournais cette réflexion dans ma tête parce que c'était contradictoire, un non sens... et voila qu'un réflexion sur un simple livre m'a apporté à ça :
J'ai pas le goût d'en finir (avec la vie) par ce que c'est tellement bon que je veux faire durer l'intrigue.
Mais en même temps...
J'ai le goût d'en finir (avec la vie) le plus vite possible pour savoir c'est quoi la fin.
Vous avez déjà eu ce dilemme?
Finalement j'ai conclu que je préfère prendre mon temps pour savourer chaque pages (de la vie), chaque péripéties (de la vie), chaque chapitres (de la vie), parce que c'est trop bon et que les bouts les plus plate, je les passerai plus vite.
Quand même pas pire non?
Une réflexion banal qui apporte a une réflexion existentiel...
L'Albert
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